Programme du jour: Randonnée urbaine de 13h à 17h
suivie d'un Vin chaud au Tournesol
et cherchez bien sur la photo ...en bas à droite.....La Star des Forts Trotters à droit à la Une dans Nice Matin !!
Ingrédients
A quoi sert la Préparation Physique Généralisée ?
L'objectif de la PPG est de renforcer de façon équilibrée et globale tout le système musculaire, articulaire et tendineux afin de mieux supporter les formes de travail plus intensives et plus spécifiques dans d'autres pratiques sportives et d'éviter ainsi les blessures. Elle est particulièrement indiquée pour les coureurs mais aussi pour des non-pratiquants. Elle permet ainsi de faire un travail d'entretien physique pour être plus à l'aise dans son corps
La PPG s'adresse à tous les groupes musculaires (haut et bas du corps).
dernier kilomètre où on effectue d’abord une belle descente dans le village puis fatalement une belle remontée en deux temps, la première moins sévère que la deuxième qui finit environ 200 mètres avant l’arrivée, sinon après une petite boucle de quelque centaines de mètres dans le village on fait deux passages dans la forêt où sorcières et hommes des bois essayent de perturber les coureurs. Pour moi, j’ai mieux tenu le rythme qu’à la Rotonde, le chrono est en amélioration : 40’48’’ pour une 59ème place sur 675 même si la chaleur était encore présente. Là aussi il y avait un 5 Km et des courses pour les jeunes et une bonne organisation (douches, vestiaires, consignes). Le plus le concours de bucherons après la course, promenade de nuit dans la forêt, tarte flambée et animation musicale par un orchestre.
t, idéale pour ceux qui veulent faire un chrono. Le départ est situé à coté du stade de La Robertsau, on effectue d’abord un petit tour dans les rues avoisinantes et ensuite de faire une boucle dans la forêt, pour finir dans l’enceinte du stade. A signaler cette course est gratuite et cette année il y avait des meneurs d’allure (40mn, 45mn et 50mn). La chaleur est encore là, mais le passage en forêt procure une sensation de fraicheur, à quelque secondes près je réalise le même chrono que la veille : 40’51’’ pour une 46ème place sur 380, j’aurai peut-être pu faire mieux si un petit point de coté ne m’avais pas fait ralentir vers le 9ème km, mais ce n’est pas l’essentiel car ce n’était qu’une course de préparation. L’organisation a été également de bonne qualité.
En cliquant sur le titre, vous accéderez à des photos de ce trail sur le site "marathon4you.de"
TRAIL DU PAYS WELCHE – Mon premier « vrai trail »
Patrick a repéré un magnifique trail à Orbey, ainsi que la possibilité de dormir dans un tipi à proximité du départ. Les enfants vont être contents. Oui, mais… ils partent en vacances juste avant. Je vais me retrouver seule toute la journée. Alors pourquoi pas le courir ce trail ? 48km c’est long, mais ça n’a pas l’air si terrible, quand on est spectatrice. Décision prise, je m’inscris. Je rajoute un entrainement par semaine, ça fera 3 d’environ 1 heure chacun. C’est un peu juste ? Les organisateurs annoncent une modification du parcours, histoire de rallonger un peu (distance 50km et dénivelée 2200m). Je ne suis plus à ça près…
La veille de la course, les conversations tournent autour de l’UTMB (Mont Blanc), la CCC (version « courte » de la précédente), la diagonale des fous (traversée de la Réunion)… manifestement je n’ai pas ma place parmi ces coureurs de l’extrême. J’observe. Ils reprennent des pâtes, moi aussi (faut se forcer). Ils bandent leurs doigts de pied individuellement, je le fais aussi. Ils préparent leurs affaires méticuleusement, je ressors tout pour tout re-ranger. L’organisatrice me rassure, le circuit est très bien balisé (je confirme). Je fais la connaissance du serre-file, au cas où je courrais avec lui le lendemain. Peu importe le temps de course, l’objectif est d’arriver. Moral au beau fixe malgré l’inquiétude. Ambiance très sympa.
Le départ, pas rapide du tout. Juste après, une montée tellement raide que plus personne ne court. Patrick est avec moi, c’est le bonheur. Les bénévoles sont toujours là où une petite difficulté rend leur présence utile et agréable, avec le sourire. Les km passent, parcours magnifique mais très technique, avec de petits sentiers très étroits et très caillouteux. Escalade (à 4 pattes) du rocher du Hans à partir du lac blanc, descente en sautant dans un canal, passage sur des rondins de bois, sous un fil électrifié… j’avais pas imaginé ça ! Lac blanc, lac noir, lac des truites, on se croise à 2 endroits, juste le temps d’apprendre qu’on n’est pas derniers. Moral toujours excellent, malgré quelques petits moments raplapla. 30km, ça commence à être dur. De plus en plus. Patrick s’impatiente : si tu ne cours pas quand c’est plat, on va terminer en marchant, en plus de 12 heures… Mais j’ai mal aux cuisses et je suis fatiguée ! A toute petite vitesse mais en courant, on rattrape des coureurs au bord de l’abandon. C’est bon pour le moral : moi au moins, j’ai pas froid, pas de tendinite, pas de crampes et un accompagnateur formidable. Et c’est reparti. La montée à la tour du Faudé passe presque inaperçue, mais que la descente est dure… trop raide, j’arrive pas à courir. Envie de pleurer, de fatigue. Dernière montée, l’organisatrice me pousse pour m’aider. J’entends l’arrivée. Là, il faut courir, quitte à y laisser les dernières forces. 7h50’ d’effort, je m’effondre, mais je suis arrivée, j’ai réussi. Un beau T-shirt technique, une tasse « vachement » sympa. Douche, repas, puis massages, ça va déjà mieux. Les derniers arrivent en plus de 10h. Non seulement on a de la chance au tirage au sort, mais en plus on a la coupe du couple le plus sympa. Pourtant j’ai eu du mal à sourire à la fin… Refaire ??? OUI !!! mais avec un entrainement plus adapté : plus long, avec du dénivelé et des randos rapides longues. Maintenant, repos !
Reportage et photos de ce trail à l'adresse suivante:
Le week-end du 13 et 14 juin aura lieu le "relais pour la vie" organisé par la ligue contre le cancer.
Il se déroule cette année à Benfeld de 16h à 16h.
Comment ça marche ?
- vous êtes un(e) coureur(euse) occasionnel ou confirmé(e) ?
- vous avez 30 minutes, 1h, 2x 1h ou plus de disponible entre samedi 13 juin à 16h et dimanche 14 juin à 16h ?
- alors signalez vous
- donnez vos créneaux horaires
- et venez courir avec tous les autres lors du relais pour la vie, c'est tout !
Je peux vous garantir que tout ceux qui étaient présents l'année dernière ont gardé un très bon souvenir de ces moments et que c'est quelque chose à vivre au moins une fois dans sa vie !
Venez entre amis, en famille; n'ayez pas peur de venir courir même de nuit, l'ambiance est assurée : musique, animation, bal et il y a même des lits mis à disposition pour ceux qui veulent.
Lancez vous !
Après le Scharrach dimanche 5 avril, nous allons parcourir une autre petite montagne, le Bastberg. Pas encore dans les Vosges, mais offrant de très beaux panoramas sur les Vosges du nord et les collines environnantes du pays de Hanau, il constitue un belvédère à 324m d'altitude....!
Cette épreuve, dont le départ est donné à Quingey (Doubs), figure pour la première fois au calendrier : la distance du trail est de 35km (+1000m dénivelé).
Il y a aussi un circuit de 17 km pour les coureurs moins aguerris.
Je me suis inscrit pour le « 35 » avec Miguel, un ami du village, et nous sommes partis la veille, en famille.
Le départ de la course est commun avec les coureurs du « 17 » : attention à ne pas se tromper de rythme.
Au bout de 2 kilomètres, la première montée : la course est longue et je préfère marcher de temps en temps, lorsque la pente est plus raide. Puis nous arrivons sur une crête et passons près d’un joli belvédère : la descente est technique, gare aux chevilles.
Au 7ème kilomètres nous sommes de retour à Quingey : un joli pont traverse la Loue, et les coureurs traversent le pont…
De l’autre côté nous attend un premier poste de ravitaillement.
La deuxième boucle du parcours va longer le cours de la Loue, mais bien entendu avec quelques montées descentes pour ne pas s’ennuyer en cours de route.
Dans l’une de ces montées, alors que j’opte à nouveau pour la marche rapide, je ramasse un déchet jeté par un coureur (mon côté écolo…). Mais, il s’agit en fait d’un tube de gel d’une marque bien connue, non utilisé : je le mets dans le filet de mon sac à dos.
Nous arrivons au km 15 au deuxième ravitaillement, tenu par un groupe de joyeux bénévoles.
Je mange quelques fruits et avale du coca.
Plus loin, vers le 20ème kilomètre, j’ai un coup de mou, et je constate en me retournant qu’une poignée de coureurs me rattrape, parmi lesquels se trouve Miguel.
Je me souviens alors du gel : je le récupère. Je lis « Energie concentrée ».
Pas d’hésitation, juste avant le dernier ravito du km25, j’avale le gel. Pour faire passer le goût sucré, je bois au poste 2 gobelets de coca, et je mange tout ce que je trouve sur la table : saucisson, Comté, fruits secs, quartiers d’orange, et du chocolat à moitié fondu sous les rayons du soleil : je demande au bénévole, si c’est cela la fameuse fondue franc-comtoise. Le bénévole me répond pince sans rire que si j’ai pris un coup de chaud, il y a la croix rouge juste à côté…
Au moment de quitter le poste, je vois Miguel arriver.
Je ne saurai jamais à quoi c’était lié, mais je suis reparti sur les chapeaux de roues, ou plutôt sur la pointe des baskets, les jambes légères. J’ai rattrapé quelques concurrents dans les derniers kilomètres, parmi lesquels un coureur « espace marathon », ce qui m’arrive rarement il faut bien l’avouer.
J’ai franchi la ligne au bout de 3h20 d’efforts (62ème sur 150 coureurs). Miguel est arrivé une vingtaine de minutes plus tard, perclu de crampes.
Nous nous remettrons tous les deux de cette course de retour au gîte, autour d’une bonne raclette, sans compter… mais sans Comté.
22 adeptes pour une première, c'est beau !
de la rando du 5 avril
